Enseignement digital : comment vous y mettre vraiment ?




Le coronavirus affecte le lieu de travail, où le télétravail – surtout en période de confinement – semble être devenu la règle plutôt que l’exception. De même, de nombreux bancs d’école restent plus ou moins vides.

 

L’habituel tableau ou écran de la classe doit laisser la place à l’écran digital d’un PC à la maison. Mais ne vous y trompez pas : ce petit écran n’est qu’un des éléments essentiels de l’enseignement digital, même s’il s’agit du pilier le plus tangible et le plus visible. En effet, l’ordinateur portable, qui suscite l’enthousiasme des élèves, n’est que la partie visible de l’iceberg. Trois autres piliers tout aussi importants se cachent sous la ligne de flottaison.

 

Pilier 1 : infrastructure

Qui dit enseignement digital, dit infrastructure ICT appropriée. Vous comptez utiliser la technologie audio et vidéo ? Mieux vaut alors être en mesure d’envoyer, de traiter et d’enregistrer un grand nombre de données. Rapidement et en toute sécurité. Pour cela, vous avez besoin d’une capacité de réseau, de serveur et de stockage suffisante. Par ailleurs, vous devez être à même de gérer correctement toute cette infrastructure ICT.

Il en va de même pour les élèves à la maison. À l’heure actuelle, un ordinateur portable sans connexion internet ne sert plus à grand-chose. Un réseau domestique sans fil est une condition sine qua non pour que l’enseignement digital soit couronné de succès.

 

Pilier 2 : pédagogie

L’enseignement digital ne se limite pas à la technologie. La digitalisation escomptée doit également s’inscrire dans un projet pédagogique. Le programme scolaire, notamment, doit permettre d’utiliser aussi des formes de travail digitales. Sinon, cela ne fonctionnera pas. Cela n’a aucun sens, par exemple, de demander à chaque élève de répondre à une question sur son ordinateur portable individuel sans tableau interactif/intelligent sur lequel projeter toutes ces réponses.

 

Pilier 3 : connaissances

Pour que l’enseignement digital soit un succès, il ne suffit pas d’acquérir la technologie requise et d’adapter ou d’ajuster quelque peu votre vision pédagogique. Les enseignants doivent également être en mesure de travailler facilement avec toutes ces nouvelles technologies en les intégrant de manière transparente dans leurs cours. Ils doivent être suffisamment à l’aise avec le matériel digital pour, d’une part, convertir au format numérique les formes et activités d’apprentissage traditionnelles existantes et, d’autre part, développer eux-mêmes de nouvelles formes et activités d’apprentissage numériques.

 

Piliers 4 : ordinateurs portables

L’achat d’un ordinateur portable individuel pour chaque élève est l’aboutissement concret de la transition vers l’enseignement digital. Nous sommes particulièrement bien placés pour vous aider à développer ce pilier. Concrètement, nous proposons l’abonnement Easy4u qui, outre l’ordinateur portable pédagogique à proprement parler, comprend aussi les logiciels, le service et l’assurance. Pour un prix mensuel limité, les élèves ont accès à l’environnement d’apprentissage électronique et aux méthodes d’enseignement digitales de leur école. Sans que personne ne doive s’occuper de quoi que ce soit : ni les élèves, ni les parents, ni les enseignants, ni le responsable ICT de l’école. Nous nous chargeons de tout, y compris du volet logistique : commande, facturation, installation, réparation...

 

Et cela ne s’arrête pas là. Notre partenariat étendu nous permet également d’aider les écoles à développer les trois autres piliers essentiels. Pour le troisième pilier, l’acquisition de connaissances, les écoles peuvent par exemple s’inscrire à des formations proposées par des partenaires spécialisés comme Microsoft, en bénéficiant de réductions. Et toutes ces formations peuvent bien sûr être suivies en ligne. Pratique !

 

Cet article a été élaboré en collaboration avec Microsoft.